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obsidian dragon

mala, chapelet bouddhiste tibetain. 108 perles de cornes de buffle. amulette, representation tantrique de Manjushri. Montage traditionnel

mala, chapelet bouddhiste tibetain. 108 perles de cornes de buffle. amulette, representation tantrique de Manjushri. Montage traditionnel

Precio habitual €135,00 EUR
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Le mala, trengwa, en tibétain est le rosaire du bouddhiste, l'objet dont le
moine (voire le pratiquant laïc) ne se sépare presque jamais, le tenant à la
main ou enroulé autour du poignet. Le mala est tout d'abord un objet utilitaire:
il sert de support tactile à la récitation des mantras, en même temps qu'il est
utilisé pour les compter si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini. Le
mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il
signifie simplement "guirlande" (de perles). Les différents composants recèlent
chacun une signification symbolique précisent: La grosse perle (ou tete de
bouddha) qui clôt la boucle repésente la connaissance de la vacuité. Le petit
cône qui la surmonte est la marque de la vacuité elle-même.

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris,
toutes nos pierres sont expertisées et certifiés.

En tant que Malakara, nous confectionnons nous même l'ensemble de nos malas en respectant scrupuleusement la tradition.

mala, chapelet bouddhiste tibetain.

108 perles de cornes de buffle de 8mm de diamètre chacune

amulette, representation tantrique du bodhisattva Manjushri en bronze. (description ci dessous)

Amulette ancienne

Montage traditionnel.

Contre perles en cuivre sur lequel est gravé le mantra de la compassion "om mani padme hum"

Compteur traditionnel sur les côtés en bronze avec la cloche et le vajra du bouddhisme tantrique en finition.

Taille totale de la pièce 58 cm Poids de 120 grammes

MANJUSHRI

Manjushrî fut un disciple de Shâkyamuni dont il est, avec Samanta- bhadra, l’un
des acolytes dans les groupes d’images appelées au Japon Shaka Sanzon, « les
trois vénérables de Shâkyamuni ».

C’est « Celui dont la beauté est charmante », le Bodhisattva « de vertu
merveilleuse et de douce majesté ». Important dans les bouddhismes mahāyāna et
vajrayāna.

On l'invoque pour, entres autres la reussite dans les etudes. Il représente la
sagesse, l’intelligence et le pouvoir de l’esprit. « Son adoration confère la
Sagesse divine, la maîtrise du Dharma, une mémoire fidèle, la perfection
mentale, l’éloquence. Il aurait indéfiniment retardé son accession à l’état de
Bouddha, mû par une compassion infinie qui le poussa à demeurer dans ce monde
jusqu’à ce qu’il n’y reste plus un seul être à amener sur le chemin de
l’illumination suprême.

Il est le protecteur des gens nés sous le signe du lievre/ lapin.

Les deux principaux emblèmes de Manjushri, le bodhisattva de la sagesse, sont
l'épée enflammée et le sutra de la perfection, dans sa main gauche, près du cœur
.L'épée enflammée représente l'intelligence pénétrante de Manjushri, qui tranche
toutes les illusions, révélant la nature vide de toute chose. L'épée représente
avant tout la sagesse, le discernement qui déchire les voiles de l'ignorance.
Manjushrî aurait été l’initiateur et le maître des Bouddha des âges passés.

Il devrait également être celui du Bouddha du futur, Maitreya. « Manjushrî est
le père et la mère des Bodhisattva, et il est leur ami spirituel .» Le Bouddha
Lui-même décrit Manjushrî et fait son éloge dans le Manjushrîparinirvâna-sûtra.
Ce Bodhisattva fut en conséquence très souvent représenté, tant en Inde qu’au
Tibet, en Chine et au Japon, ainsi qu’au Népal dont il serait, selon la
tradition, le fondateur venu de Chine.

Ses images n’apparaissent que tardivement en Asie centrale et sur quelques
stèles chinoises, associé à Vimalakîrti (jap. Yuima Koji) au VIe siècle. Selon
la légende népalaise, Majushri ouvrit la vallée de Kathmandu en taillant, d'un
coup de son épée flamboyante, une brèche dans les montagnes encerclant la
vallée. Le lac occupant cette dernière put ainsi se vider par les gorges de
chobar, qui portent la marque de ce coup.

Le Mantra de Mañjuśrī le plus connu est Om Ah Ra Pa Tcha Na Dhih, Les
syllabes-germes Dhih et Mum sont associées à Manjushri. Pour avoir une bonne
mémoire ou développer son intelligence on s'adresse souvent au bodhisattva de la
grande sagesse, et la récitation du mantra est très pratiquée en Chine.

Version longue: Namah samanta buddhānām. He he Kumāraka vimukti pathasthita
smara smara pratijñā svāhā.

Son culte en Chine s'est développé à partir des Dynasties du Nord et du Sud (420
— 589) sur le mont Wutai (五台山 / 五臺山, wǔtáishān, « Montagne aux Cinq Terrasses
»). Wutai Shan est l'une des quatre montagnes sacrées bouddhiques de Chine. Il
culmine à 3 058 m au pic Yedou. Il est situé sur le territoire de la
ville-préfecture de Xinzhou, dans la province du Shanxi, à seulement quelques
dizaines de kilomètres au sud de l'une des cinq montagnes sacrées de Chine : le
mont Heng et à moins de 300 km de Pékin. Il a été inscrit sur la liste du
patrimoine mondial de l'UNESCO le 26 juin 2009. 

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