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hongqiao

Pendentif, amulette bouddhiste tibétaine, bouddha. Akashagarbha. Cinabre. sutra du coeur en nanoscript. Protection bouddhiste. Avec cordon

Pendentif, amulette bouddhiste tibétaine, bouddha. Akashagarbha. Cinabre. sutra du coeur en nanoscript. Protection bouddhiste. Avec cordon

通常価格 €85,00 EUR
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Pendentif, amulette bouddhiste tibétaine, bouddha. Bodhissatva Akashagarbha (description ci dessous)

Cinabre.

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris,
toutes nos pierres sont expertisées et certifiées.

sutra du coeur en nanoscript visible par transparence a la lumiere par effet
loupe. Mantra tournant au verso grâce à un système à roulement à bille de
précision élaboré en Allemagne.

Protection bouddhiste.

Avec cordon agrémenté de santal rouge.

Dimension du pendentif: 60mm de haut sur 40mm de large sur 10mm d'épaisseur
Poids du pendentif: 54 grammes

LE CINABRE (HGS (sulfure de mercure))

Du grec ancien Kinnaburi. Le cinabre était déjà connu depuis le néolithique pour
son usage comme pigment dans les fresques murales et les cérémonies religieuses.
Les chinois utilisait le cinabre il y'a 3500 ans comme pigment pour les poteries
ou comme encre. Ils auraient été les premiers à avoir fabriqué le vermillon, au
début de notre ère.

Utilisé dans la médecine chinoise soit oralement pour clarifier le coeuret
calmer l'esprit, soit localement pour éliminer la toxicité. Son usage ancien a
également été attesté en Chine, la dynastie Shang (-1570 à -1045) en faisait
l'usage lors des divinations (scapulomancie) pour faire apparaître et
interprèter les craquelures sur les carapaces de tortue.

Les taoîstes chinois l'utilisaient comme drogue d'immortalité, d'où des
empoisonnements mercuriels. Le plus fameux est celui de l'empereur Qin Shi Huang
en 210 avant notre ère. Réputé en Chine également comme chasse fantôme,
tradition perdurant encore de nos jours, ainsi que dans la tradition tibétaine.

AKASHAGARBHA

Akashagarbha est le protecteur des gens nés sous le signe du buffle et du tigre.

Il est l'un des huits grands boddhisattva du vajrayana. et l’un des treize bouddhas de l’école tantrique japonaise Shingon. Son nom est formé de ākāśa, « espace illimité », et de garbha, « matrice ». invoqué pour développer la sagesse. Son culte s’est maintenu principalement au Japon.

Ākāśagarbha représente l’essence de l’éther et appartient sur les mandalas à la famille du ratna (joyau). Selon le Soutra d’Akashagarbha , on le prie vers l’est en attendant l’aube (aruņa) qui est sa manifestation. On dit aussi que la lune, le soleil et les étoiles sont ses manifestations.

Compte tenu qu’une partie de son nom peut avoir le sens de « ciel », certains ont proposé de voir une divinité céleste ou stellaire à l’origine du bodhisattva. Ce bodhisattva est associé à un rituel d'amélioration de la mémoire décrit dans le Soutra du bodhisattva Ākāśagarbha qui fut introduit au Japon durant la période Nara (645-794). De nos jours encore, nombreux sont ceux qui récitent son mantra dans l’espoir de revitaliser une mémoire défaillante.

Sur l’île de Honshu, les enfants avaient l’habitude de rendre hommage à Kokuzo le jour de leurs treize ans pour solliciter l’amélioration de leurs capacités intellectuelles. On prie aussi Ākāśagarbha pour obtenir l’habileté manuelle ; il est considéré comme le patron des artisans.

En dehors de ses aspects utilitaires, le mantra de Kokûzô a aussi un effet spirituel. Il est récité pour développer la sagesse. Kukai, fondateur du bouddhisme Shingon, fit plusieurs fois son ascèse particulière, "le Goumanji" rituel de 100 jours consistant à répéter le mantra un million de fois dans l'isolement.

À l'issue du 10e, il est dit que l'étoile de l'aube, que symbolise le bodhisattva, descendit se fondre en lui, lui apportant l'illumination. Dernier sur la liste des Treize bouddhas du courant Shingon, Ākāśagarbha clôt aussi le cycle des rituels funéraires en présidant la dernière cérémonie commémorative 32 ans après le décès. Ākāśagarbha a également une certaine importance dans le bouddhisme Nichiren.

Le Seicho-ji (Kiyosumi-dera), temple où étudia le fondateur du courant, fut construit autour d’une statue de ce bodhisattva. Selon le Gosho, recueil de ses écrits, Nichiren vit un jour Kokûzô apparaître devant lui puis se changer en un vieux moine qui lui remit une perle de sagesse.

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