pendentif bouddha, bouddhiste tibetain en santal exceptionnel dit "Laoshan" originaire de Mysore en Inde. Déité Tara sous sa forme verte.

pendentif bouddha, bouddhiste tibetain en santal exceptionnel dit "Laoshan" originaire de Mysore en Inde. 

Le santal indien (S. album) est maintenant très rare et donc très cher. Le santal de la région de Mysore, en Inde du Sud, est considéré comme la meilleure qualité disponible.
De nouvelles plantations ont été mises en place avec l'aide de la communauté internationale au Tamil Nadu.
Il se distingue des autres santal par son parfum caractéristique persistant dans le temps, et de la qualité de son bois.

Turquoise d'Arizona "sleeping beauty"

Déité de la richesse Tara sous sa forme verte (Description ci dessous)

Pièce entièrement artisanale

Au verso est conçue une roue de la vie bouddhiste tournante en argent 925 grâce a un roulement a bille de haute précision allemand.

Turquoise naturelles

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos matières sont expertisées et certifiées

Dimension du pendentif: 45mm de haut sur 30mm de large sur 15mm d'épaisseur

TARA VERTE

Tara "la libératrice", "la salvatrice" et "l'étoile" est la principale déité de la compassion dans le Mahayana et le Vajrayana.

Regroupée dans les 10 Mahāvidyā, déesses regroupées sous le nom de Grande Sagesse dans l'hindouisme, elle prit de l'importance dans le bouddhisme indien à parait du VIème siècle, puis en à Java, au Cambodge et enfin au Tibet à partir du VIIIème siècle et surtout au XIème siècle avec la venue d'Atisa.

On la prit tout d'abord pour une émanation d'Avalokitesvara (Guan Yin), le Bodhisattva de la grande compassion, née d'un lotus poussé dans une larme de cette dernière. Elle fut ensuite mise à l'identique de Prajnaparamita et de verra tout comme elle attribuer le titre de "mère de tous les vainqueurs", popularisée surtout comme "la salvatrice" "celle qui fait traverser de l'autre côté".

Considérée comme "celle qui sauve des huit grandes peurs", elle est aussi la mère universelle de tout les êtres, protégeant les animaux et les plantes et règne sur les trois mondes la monde inférieur, la terre et les cieux.

Dans le Vajrayana Tara est en plus une déité d'élection (Yi Dam), capable de mener le pratiquant à l'Eveil parfait qu'elle incarne.

Dans la mouvance tantrique, elle se révèle un parfait Bouddha sous forme féminine. Tara fut introduite au Tibet par la princesse népalaise Tristün, épouse du roi Songtsen Gampo (569- 650) apportant avec elle une statue de santal de la déesse.

La tara verte est la forme principale d'ou proviendrait toutes les autres.