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Pendentif Bouddha, Samantabhadra. Amulette de protection bouddhiste Argent 925 plaqué or 18K. Pendentif tournant

Pendentif Bouddha, Samantabhadra. Amulette de protection bouddhiste Argent 925 plaqué or 18K. Pendentif tournant

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Amulette de protection bouddhiste Bodhisattva Samantabhadra (description ci dessous)

Dimension du pendentif 60/34/8 mm Poids de 53 grammes

Argent 925 poinçonné selon les normes internationales en vigueur

plaqué or 18K.

Turquoises naturelles

agate nan hong (rouge du sud). Cette agate exceptionnelle doit sa couleur rouge intense de par sa teneur naturelle en cinabre.

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos pierres sont expertisées et certifiées.

Mantra de la compassion.

Pendentif tournant sur un axe vertical.

Bodhisattva SAMANTABHADRA

Protecteur des gens nés sous le signe du dragon et du serpent Samantabhadra, dont le nom en sanskrit signifie dignité universelle, est un bodhisattva du Mahayana, ou grand véhicule. Associé au dhyana, la méditation,

il forme une triade avec le bouddha Siddartha Gautama et le bodhisattva Manjushri. Dignitaire du sutra du lotus, et selon le sutra d’Avatamsaka,

Samantabhadra à fait les dix grands vœux du bodhisattva 1. Rendre hommage et respect à tous les bouddhas. 2. louer l'Ainsi-Venu le Tathagata (Bouddha) 3. Faire des offrandes abondantes. 4. Se repentir des méfaits et des mauvais karmas . 5. Se réjouir des mérites et des vertus des autres . 6. Demander aux Bouddhas de continuer à enseigner. 7. demander aux bouddhas de rester dans le monde. 8. Suivre les enseignements des bouddhas à tout moment. 9. accueillir et profiter à tous les êtres vivants. 10. Transférer tous les mérites et vertus au profit de tous les êtres.

Connu dans le bouddhisme chinois sous le nom de Puxian, il est associé à l’action, tandis que Manjushri est associé à la sagesse transcendante ou prajna.

Répondant du nom de Fugen au Japon, Samantabhadra fait l’objet d’un culte important dans les courant Tendaï et Shingon.

Considéré comme l’adhi- bouddha (Bouddha Primordial) dans le courant Nyinqma du bouddhisme tibétain, il y’est souvent représenté en Yab- Yum, ou union indivisible mâle femelle avec son épouse ou parédre Samantabhadri. Dzongsar Khyentse Rinpoché suivant la tradition Nyingmapa Dzogchen qualifie la nature et l'essence de Samantabhadra, le Bouddha Primordial, comme la source sans origine des enseignements Atiyoga intemporels et illimités, et honore le point de vue contradictoire entretenu par certaines parties soutenant que les enseignements Dzogchen sont originaire de la tradition Bonpo 

Ou du moine chinois Moheyan : “Samantabhadra n'est pas soumis à des limites de temps, de lieu ou de conditions physiques. Samantabhadra n'est pas un être coloré à deux yeux. Samantabhadra est l'unité de la conscience et de la vacuité, l'unité des apparences et de la vacuité, la nature de l'esprit, la clarté naturelle avec une compassion incessante - c'est Samantabhadra depuis le début.“

Contrairement à son homologue plus populaire Mañjuśrī , Samantabhadra n'est que rarement représenté seul et se trouve généralement dans une trinité du côté droit de Shakyamuni , monté sur un éléphant blanc à six défenses. Dans ces traditions qui acceptent l'Avatamsaka Sutra comme son instruction fondamentale, Samantabhadra et Manjusri flanquent le Bouddha Vairocana , le Bouddha central de ce soutra particulier.

Il est parfois montré dans l'art chinois avec des caractéristiques féminines, chevauchant un éléphant avec six paires de défenses tout en portant un `` parasol '' de feuille de lotus (sanscrit: chatra ), portant une robe et des caractéristiques similaires à certaines représentations féminines de Guanyin . C'est sous cette forme que Samantabhadra est vénéré comme le bodhisattva protecteur des monastères associés au mont Emei dans l'ouest de la Chine dans la province du Sichuan, important lieu de pèlerinage bouddhiste. Certains pensent que la monture d'éléphant blanc de Samantabhadra était le même éléphant qui est apparu à la reine Maya , la mère du Bouddha, pour annoncer sa naissance. Les traditions ésotériques du Mahayana traitent Samantabhada comme l'un des Bouddhas «Primordiaux» (Sanskrit: Dharmakaya ), mais le Bouddha primordial principal est considéré comme Vairocana .

Le peuple sri-lankais vénère Samantabhadra Bodhisattva comme Saman (également appelé Sumana, Samantha, Sumana Saman). Le nom Saman signifie "le soleil levant du matin". Le dieu Saman est considéré comme l'une des divinités gardiennes de l'île ainsi que comme un protecteur du bouddhisme. Son sanctuaire principal est situé à Ratnapura , où se tient un festival annuel en son honneur.

 

MANTRA DE LA COMPASSION "OM MANI PADME HUM"

Selon le bouddhisme tibétain, le fait de réciter le mantra de Chenrezi Om Mani Padme Hum, à voix haute ou intérieurement, est une invocation à l’attention bienveillante et puissante de Chenrezig, l’expression de la compassion du Bouddha. Le fait de voir le mantra écrit peut avoir le même effet, c’est pour cela qu’on le retrouve à des endroits bien visibles, voir même gravé dans la pierre. Il peut également être invoqué à l’aide de moulins à prières sur

lesquels le mantra est inscrit, parfois des milliers de fois. Il existe

différents formats de moulins à prières : il y a ceux que l’on peut transporter avec soi et faire tourner d’une seule main, et il y en a d’autres qui sont si grands et si lourds qu’il faut plusieurs personnes pour les faire tourner. Selon les moines bouddhistes tibétains, le mantra Om Mani Padme Hum (Hung) réunit à lui seul l’ensemble des enseignements du Bouddha.

Chaque syllabe permet de fermer une porte de la réincarnation :

OM : Ferme la porte du monde des Devas (dieux).

MA : Ferme la porte du monde des asuras (demi-dieux).

NI : Ferme la porte du monde des humains.

PAD : Ferme la porte du monde des animaux.

ME : Ferme la porte du monde des pretas (« esprits avides »).

HUNG : Ferme la porte de l’enfer. Chaque syllabe purifie un voile :

OM : purifie le voile du corps.

MA : purifie le voile de la parole.

NI : purifie le voile de l’esprit.

PAD : purifie le voile des émotions contradictoires.

ME : purifie le voile de l’existence substantielle.

HUNG : purifie le voile qui recouvre la connaissance.

Chaque syllabe est un mantra en elle-même :

OM : pour le corps des Bouddhas.

MA : pour la parole des Bouddhas.

NI : pour l’esprit des Bouddhas.

PAD : pour les vertus des Bouddhas.

ME : pour les accomplissements des Bouddhas.

HUNG : pour la grâce du corps, de la parole, de l’esprit, de la vertu et de tous les accomplissements des Bouddhas.

Chaque syllabe correspond à l’un des six paradigmes ou perfectionnements transcendantaux :

OM : la générosité.

MA : l’éthique.

NI : la tolérance.

PAD : la persévérance.

ME : la concentration.

HUNG : le discernement.

Chaque syllabe est également reliée à un Bouddha :

OM : Ratnasambhava.

MA : Amaoghasiddi.

NI : Vajradhara

PAD : Vairocana.

ME : Amitabha.

HUNG : Akshobya.

Chaque syllabe du mantra nous purifie d’un défaut :

OM : l’orgueil.

MA : l’envie / le désir de se divertir.

NI : le désir passionnel.

PAD : la bêtise / les préjugés.

ME : la pauvreté / la possessivité.

HUNG : l’agressivité / la haine.

Enfin, chaque syllabe correspond à l’une des six sagesses :

OM : la sagesse de la stabilité.

MA : la sagesse toute accomplissante

NI : la sagesse émanent de soi-même

PAD : la sagesse toute embrassante (dharma)

ME : la sagesse discriminante

HUNG : la sagesse semblable à un miroir.

 

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