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pendentif bouddha. protection de Samantabhadra bodhisattva. Authentique ghau avec tangka peint sur or. Amulette bouddhiste vajrayana

pendentif bouddha. protection de Samantabhadra bodhisattva. Authentique ghau avec tangka peint sur or. Amulette bouddhiste vajrayana

Prix habituel €555,00 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €555,00 EUR
En vente Épuisé
Taxes incluses. Frais d'expédition calculés à l'étape de paiement.

Dimensions du Ghau: 58mm de haut sur 40mm de large sur 13.8mm d'épaisseur Poids de 46 grammes.

Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinité d’élection du possesseur est gardée, enveloppée dans des vêtements de soie. La grande majorité des Tibétains utilisent le ghau à la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un véritable autel à la maison. Lors des voyages, elle est accrochée à la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet également à son possesseur de prouver sa dévotion à sa déité.

Véritable Tangka Regong traditionnel Le tangka est peint au temple de Longwu, appelé également Wutun. Le tangka est peint sur la déité en or, art trés difficile et traditionnel.

Wutun et une lamaserie tibétaine située dans la préfecture tibétaine de Rebkong , province de l'Amdo ,appelé Huangnan dans la province du Qinghai en Chine et se trouve à 186 km de Xining.

Centre réputé de peinture de thangka tibétaines. Les arts Regong ont été inscrits en 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Les couleurs de ce tangka sont composées d'or pur et de minéraux broyés.

Argent 925 poinçonné selon les normes internationales

Or 18K

Cuivre

Turquoise de la province du Hubei et agate dite nan hong (rouge du sud) de la province du Yunnan entièrement naturelles.

Cette agate exceptionnelle doit sa couleur rouge intense de par sa teneur naturelle en cinabre.

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos pierres sont expertisées et certifiées.

Roue bouddhiste de la vie tournante au verso grâce à un système de roulement à bille de haute précision élaboré en Allemagne

Les vitres protectrices sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.

Livré dans un coffret haut de gamme en metal représentant un mandala du bouddhisme tibétain comme le montre cette vidéo concernant l'ensemble de cette gamme

Pendentif mixte, homme et femme, destiné aux adultes.
Couleur: argent, cuivre, et or. 

SAMANTABHADRA

Bodhisattva Samantabhadra est un protecteur des gens nés sous le signe du dragon et du serpent. Cette amulette le représente en peinture. Samantabhadra, dont le nom en sanskrit signifie dignité universelle, est un bodhisattva du Mahayana, ou grand véhicule, Associé au dhyana, la méditation,

Il forme une triade avec le bouddha Siddartha Gautama et le bodhisattva Manjushri. Dignitaire du sutra du lotus, et selon le sutra d’Avatamsaka,

Samantabhadra a fait les dix grands vœux du bodhisattva :

 

  1. Rendre hommage et respect à tous les bouddhas.
  2. Louer l'Ainsi-Venu le Tathagata (Bouddha).
  3. Faire des offrandes abondantes.
  4. Se repentir des méfaits et des mauvais karmas.
  5. Se réjouir des mérites et des vertus des autres.
  6. Demander aux Bouddhas de continuer à enseigner.
  7. Demander aux bouddhas de rester dans le monde.
  8. Suivre les enseignements des bouddhas à tout moment.
  9. Accueillir et profiter à tous les êtres vivants.
  10. Transférer tous les mérites et vertus au profit de tous les êtres.

Connu dans le bouddhisme chinois sous le nom de Puxian, il est associé à l’action, tandis que Manjushri est associé à la sagesse transcendante ou prajna.

Répondant du nom de Fugen au Japon, Samantabhadra fait l’objet d’un culte important dans les courants Tendaï et Shingon.

Considéré comme l’adhi-bouddha (Bouddha Primordial) dans le courant Nyinqma du bouddhisme tibétain, il y est souvent représenté en Yab-Yum, ou union indivisible mâle femelle avec son épouse ou parédre Samantabhadri. Dzongsar Khyentse Rinpoché suivant la tradition Nyingmapa Dzogchen qualifie la nature et l'essence de Samantabhadra, le Bouddha Primordial, comme la source sans origine des enseignements Atiyoga intemporels et illimités, et honore le point de vue contradictoire entretenu par certaines parties soutenant que les enseignements Dzogchen sont originaires de la tradition Bonpo.

Ou du moine chinois Moheyan : “Samantabhadra n'est pas soumis à des limites de temps, de lieu ou de conditions physiques. Samantabhadra n'est pas un être coloré à deux yeux. Samantabhadra est l'unité de la conscience et de la vacuité, l'unité des apparences et de la vacuité, la nature de l'esprit, la clarté

naturelle avec une compassion incessante - c'est Samantabhadra depuis le début.“

Contrairement à son homologue plus populaire Mañjuśrī, Samantabhadra n'est que rarement représenté seul et se trouve généralement dans une trinité du côté droit de Shakyamuni, monté sur un éléphant blanc à six défenses. Dans ces traditions qui acceptent l'Avatamsaka Sutra comme son instruction fondamentale, Samantabhadra et Manjusri flanquent le Bouddha Vairocana, le Bouddha central de ce soutra particulier.

Il est parfois montré dans l'art chinois avec des caractéristiques féminines, chevauchant un éléphant avec six paires de défenses tout en portant un "parasol" de feuille de lotus (sanskrit : chatra), portant une robe et des

caractéristiques similaires à certaines représentations féminines de Guanyin. C'est sous cette forme que Samantabhadra est vénéré comme le bodhisattva protecteur des monastères associés au mont Emei dans l'ouest de la Chine dans la province du Sichuan, important lieu de pèlerinage bouddhiste. Certains pensent que la monture d'éléphant blanc de Samantabhadra était le même éléphant qui est apparu à la reine Maya, la mère du Bouddha, pour annoncer sa naissance. Les traditions ésotériques du Mahayana traitent Samantabhada comme l'un des Bouddhas «Primordiaux» (sanskrit : Dharmakaya), mais le Bouddha primordial principal est considéré comme Vairocana.

Le peuple sri-lankais vénère Samantabhadra Bodhisattva comme Saman (également appelé Sumana, Samantha, Sumana Saman). Le nom Saman signifie "le soleil levant du matin". Le dieu Saman est considéré comme l'une des divinités gardiennes de l'île ainsi que comme un protecteur du bouddhisme. Son sanctuaire principal est situé à Ratnapura, où se tient un festival annuel en son honneur."

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