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Ghau, amulette pendentif bouddhiste tibetain, bouddha protecteur en fonction de son signe zodiacal, au choix, lievre, rat, buffle ou coq

Ghau, amulette pendentif bouddhiste tibetain, bouddha protecteur en fonction de son signe zodiacal, au choix, lievre, rat, buffle ou coq

Prix habituel €390,00 EUR
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Ghau, amulette pendentif bouddhiste tibetain, bouddha protecteur en fonction de son signe zodiacal,

Au choix lievre, rat, buffle ou coq sur cette page

Dragon ou serpent disponible ici 

Mouton ou singe disponible ici  

Chien ou cheval disponible ici

Il est de culture traditionnelle de donner un bouddha protecteur en fonction de son signe astrologique chinois.

Véritable Tangka Regong traditionnel Le tangka est peint au temple de Longwu, appelé également Wutun.

Lamaserie tibétaine située dans la préfecture tibétaine de Rebkong , province de l'Amdo ,appelé Huangnan dans la province du Qinghai en Chine et se trouve à 186 km de Xining.

Centre réputé de peinture de thangka tibétaines. Les arts Regong ont été inscrits en 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Les couleurs de ce tangka sont composées d'or pur et de minéraux broyés. Le boitier refermant le tangka est composé d'argent 925 et de bronze

Le verso représente le mantra de la compassion "om mani padme hum" tournant grâce à un système de roulement à bille élaborée en Allemagne.

Dimension du pendentif 57mm de haut sur 38mm de large poids de 33 grammes Livré avec un cordon artisanal tressé tibétain d'environ 34cm de long

Les vitres protectrices sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.

 Livré dans un boitier haut de gamme comme le montre la video

1) BODHISATTVA MANJUSHRI (signe du lièvre)

Manjushrî fut un disciple de Shâkyamuni dont il est, avec Samanta- bhadra, l’un
des acolytes dans les groupes d’images appelées au Japon Shaka Sanzon, « les
trois vénérables de Shâkyamuni ».

C’est « Celui dont la beauté est charmante », le Bodhisattva « de vertu
merveilleuse et de douce majesté ». Important dans les bouddhismes mahāyāna et
vajrayāna.

On l'invoque pour, entres autres la reussite dans les etudes. Il représente la
sagesse, l’intelligence et le pouvoir de l’esprit. « Son adoration confère la
Sagesse divine, la maîtrise du Dharma, une mémoire fidèle, la perfection
mentale, l’éloquence. Il aurait indéfiniment retardé son accession à l’état de
Bouddha, mû par une compassion infinie qui le poussa à demeurer dans ce monde
jusqu’à ce qu’il n’y reste plus un seul être à amener sur le chemin de
l’illumination suprême.

Il est le protecteur des gens nés sous le signe du lievre/ lapin.

Les deux principaux emblèmes de Manjushri, le bodhisattva de la sagesse, sont
l'épée enflammée et le sutra de la perfection, dans sa main gauche, près du cœur
.L'épée enflammée représente l'intelligence pénétrante de Manjushri, qui tranche
toutes les illusions, révélant la nature vide de toute chose. L'épée représente
avant tout la sagesse, le discernement qui déchire les voiles de l'ignorance.
Manjushrî aurait été l’initiateur et le maître des Bouddha des âges passés.

Il devrait également être celui du Bouddha du futur, Maitreya. « Manjushrî est
le père et la mère des Bodhisattva, et il est leur ami spirituel .» Le Bouddha
Lui-même décrit Manjushrî et fait son éloge dans le Manjushrîparinirvâna-sûtra.
Ce Bodhisattva fut en conséquence très souvent représenté, tant en Inde qu’au
Tibet, en Chine et au Japon, ainsi qu’au Népal dont il serait, selon la
tradition, le fondateur venu de Chine.

Ses images n’apparaissent que tardivement en Asie centrale et sur quelques
stèles chinoises, associé à Vimalakîrti (jap. Yuima Koji) au VIe siècle. Selon
la légende népalaise, Majushri ouvrit la vallée de Kathmandu en taillant, d'un
coup de son épée flamboyante, une brèche dans les montagnes encerclant la
vallée. Le lac occupant cette dernière put ainsi se vider par les gorges de
chobar, qui portent la marque de ce coup.

Le Mantra de Mañjuśrī le plus connu est Om Ah Ra Pa Tcha Na Dhih, Les
syllabes-germes Dhih et Mum sont associées à Manjushri. Pour avoir une bonne
mémoire ou développer son intelligence on s'adresse souvent au bodhisattva de la
grande sagesse, et la récitation du mantra est très pratiquée en Chine.

Version longue: Namah samanta buddhānām. He he Kumāraka vimukti pathasthita
smara smara pratijñā svāhā.

Son culte en Chine s'est développé à partir des Dynasties du Nord et du Sud (420
— 589) sur le mont Wutai (五台山 / 五臺山, wǔtáishān, « Montagne aux Cinq Terrasses
»). Wutai Shan est l'une des quatre montagnes sacrées bouddhiques de Chine. Il
culmine à 3 058 m au pic Yedou. Il est situé sur le territoire de la
ville-préfecture de Xinzhou, dans la province du Shanxi, à seulement quelques
dizaines de kilomètres au sud de l'une des cinq montagnes sacrées de Chine : le
mont Heng et à moins de 300 km de Pékin. Il a été inscrit sur la liste du
patrimoine mondial de l'UNESCO le 26 juin 2009. 

2) )BODHISATTVA GUAN YIN SIGNE DU RAT

Le bodhisattva Avalokiteshvara (hindi अवलोकितेश्वर Avalokiteśvara « seigneur qui
observe depuis le haut », chinois 觀世音 Guānshìyīn ou 觀音 Guānyīn, shanghaïen
Kueu(sy)'in, coréen Gwanseeum 관세음, japonais 観音 Kan'non, tibétain Chenrezig,
vietnamien Quán Thế Âm, indonésien Kwan Im, khmer លោកេស្វរ Lokesvara), est sans
doute le grand bodhisattva le plus vénéré et le plus populaire parmi les
bouddhistes du Grand véhicule. Il est aussi utilisé comme yidam (déité
tutélaire) dans les méditations tantriques. Bodhisattva protéiforme et
syncrétique (il peut représenter tous les autres bodhisattva), incarnant la
compassion ultime, il peut être féminin en Chine, en Corée, au Japon et au
Vietnam, sous forme de Guan Yin. Il est considéré comme le protecteur du Tibet
où le roi Songtsen Gampo et plus tard les dalaï-lamas sont vus comme ses
émanations. C'est aussi le cas d'autres tulkou comme le karmapa.

Aussi nommé Padmapāṇi ou Maṇipadmā, il est invoqué par le célèbre mantra Om̐
Maṇipadme hūm (ॐ मणिपद्मेहूम्). Chenrézi est le bodhisattva de l’amour et de la
compassion.

La poudja de Chenrézi a pour objectif de développer l’amitié pleine d’amour et
la compassion pour tous les êtres vivants sans distinction. Chenrézi se
manifeste sous différentes formes : le Chenrézi à 10 têtes et 1000 bras de la
compassion est le plus connu : il promit à son père spirituel, le Bouddha
Amitabha, de dépenser toute son énergie pour libérer tous les êtres vivants et
de ne pas se reposer tant que tous les êtres vivants ne seraient pas délivrés de
leur souffrance. S’il devait jamais douter de sa mission, ‘puissent alors ma
tête se fragmenter en dix et mon corps en 1000’. Quand, après avoir médité de
manière profonde et avoir récité sans arrêt le Mantra des Mani, il vit que
l’océan de souffrances ne s’était toujours pas vidé, alors il tomba dans un
profond désespoir et brisa sa tête en 10 et son corps en 1000. Le mantra aux six
syllabes OM MANI PEME HOENG est le mantra le plus connu du Bouddhisme tibétain.

3) BODHISATTVA AKASHAGARBHA SIGNE DU BUFFLE ou TIGRE

Akashagarbha est le protecteur des gens nés sous le signe du buffle et du tigre.

Il est l'un des huits grands boddhisattva du vajrayana. et l’un des treize
bouddhas de l’école tantrique japonaise Shingon. Son nom est formé de ākāśa, «
espace illimité », et de garbha, « matrice ». invoqué pour développer la
sagesse. Son culte s’est maintenu principalement au Japon.

Ākāśagarbha représente l’essence de l’éther et appartient sur les mandalas à la
famille du ratna (joyau). Selon le Soutra d’Akashagarbha , on le prie vers l’est
en attendant l’aube (aruņa) qui est sa manifestation. On dit aussi que la lune,
le soleil et les étoiles sont ses manifestations.

Compte tenu qu’une partie de son nom peut avoir le sens de « ciel », certains
ont proposé de voir une divinité céleste ou stellaire à l’origine du
bodhisattva. Ce bodhisattva est associé à un rituel d'amélioration de la mémoire
décrit dans le Soutra du bodhisattva Ākāśagarbha qui fut introduit au Japon
durant la période Nara (645-794). De nos jours encore, nombreux sont ceux qui
récitent son mantra dans l’espoir de revitaliser une mémoire défaillante.

Sur l’île de Honshu, les enfants avaient l’habitude de rendre hommage à Kokuzo
le jour de leurs treize ans pour solliciter l’amélioration de leurs capacités
intellectuelles. On prie aussi Ākāśagarbha pour obtenir l’habileté manuelle ; il
est considéré comme le patron des artisans.

En dehors de ses aspects utilitaires, le mantra de Kokûzô a aussi un effet
spirituel. Il est récité pour développer la sagesse. Kukai, fondateur du
bouddhisme Shingon, fit plusieurs fois son ascèse particulière, "le Goumanji"
rituel de 100 jours consistant à répéter le mantra un million de fois dans
l'isolement.

À l'issue du 10e, il est dit que l'étoile de l'aube, que symbolise le
bodhisattva, descendit se fondre en lui, lui apportant l'illumination. Dernier
sur la liste des Treize bouddhas du courant Shingon, Ākāśagarbha clôt aussi le
cycle des rituels funéraires en présidant la dernière cérémonie commémorative 32
ans après le décès. Ākāśagarbha a également une certaine importance dans le
bouddhisme Nichiren.

Le Seicho-ji (Kiyosumi-dera), temple où étudia le fondateur du courant, fut
construit autour d’une statue de ce bodhisattva. Selon le Gosho, recueil de ses
écrits, Nichiren vit un jour Kokûzô apparaître devant lui puis se changer en un
vieux moine qui lui remit une perle de sagesse.

4) BOUDDHA ACALA (SIGNE DU COQ)  Pour une description complète du Bouddha Acala veuillez cliquer ici



MANTRA DE LA COMPASSION "OM MANI PADME HUM"

Selon le bouddhisme tibétain, le fait de réciter le mantra de Chenrezi Om Mani
Padme Hum, à voix haute ou intérieurement, est une invocation à l’attention
bienveillante et puissante de Chenrezig, l’expression de la compassion du
Bouddha. Le fait de voir le mantra écrit peut avoir le même effet, c’est pour
cela qu’on le retrouve à des endroits bien visibles, voir même gravé dans la
pierre. Il peut également être invoqué à l’aide de moulins à prières sur
lesquels le mantra est inscrit, parfois des milliers de fois. Il existe
différents formats de moulins à prières : il y a ceux que l’on peut transporter
avec soi et faire tourner d’une seule main, et il y en a d’autres qui sont si
grands et si lourds qu’il faut plusieurs personnes pour les faire tourner. Selon
les moines bouddhistes tibétains, le mantra Om Mani Padme Hum (Hung) réunit à
lui seul l’ensemble des enseignements du Bouddha.

Chaque syllabe permet de fermer une porte de la réincarnation :

OM : Ferme la porte du monde des Devas (dieux).

MA : Ferme la porte du monde des asuras (demi-dieux).

NI : Ferme la porte du monde des humains.

PAD : Ferme la porte du monde des animaux.

ME : Ferme la porte du monde des pretas (« esprits avides »).

HUNG : Ferme la porte de l’enfer. Chaque syllabe purifie un voile :

OM : purifie le voile du corps.

MA : purifie le voile de la parole.

NI : purifie le voile de l’esprit.

PAD : purifie le voile des émotions contradictoires.

ME : purifie le voile de l’existence substantielle.

HUNG : purifie le voile qui recouvre la connaissance.

Chaque syllabe est un mantra en elle-même :

OM : pour le corps des Bouddhas.

MA : pour la parole des Bouddhas.

NI : pour l’esprit des Bouddhas.

PAD : pour les vertus des Bouddhas.

ME : pour les accomplissements des Bouddhas.

HUNG : pour la grâce du corps, de la parole, de l’esprit, de la vertu et de tous
les accomplissements des Bouddhas.

Chaque syllabe correspond à l’un des six paradigmes ou perfectionnements
transcendantaux :

OM : la générosité.

MA : l’éthique.

NI : la tolérance.

PAD : la persévérance.

ME : la concentration.

HUNG : le discernement.

Chaque syllabe est également reliée à un Bouddha :

OM : Ratnasambhava.

MA : Amaoghasiddi.

NI : Vajradhara

PAD : Vairocana.

ME : Amitabha.

HUNG : Akshobya.

Chaque syllabe du mantra nous purifie d’un défaut :

OM : l’orgueil.

MA : l’envie / le désir de se divertir.

NI : le désir passionnel.

PAD : la bêtise / les préjugés.

ME : la pauvreté / la possessivité.

HUNG : l’agressivité / la haine.

Enfin, chaque syllabe correspond à l’une des six sagesses :

OM : la sagesse de la stabilité.

MA : la sagesse toute accomplissante

NI : la sagesse émanent de soi-même

PAD : la sagesse toute embrassante (dharma)

ME : la sagesse discriminante

HUNG : la sagesse semblable à un miroir.

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